jeudi 18 septembre 2008

Santogold: Il y a une vie après le Punk

Le Punk Rock mène-il à tout ? Je crois en effet qu’avant d’être le mielleux engagé que nous connaissons, Cali était un ado punk en rébellion (source Vivement Dimanche mars 2008). Mais, au-delà de ce piètre exemple c’est surtout celui de Santogold qui m’a amené à cette interrogation.

Celle qui avait fait ses débuts dans Stiffed, sombre groupe punk de la Côte Est, nous a en effet offert en cette année 2008 un superbe album illustrant le renouveau de la scène indie américaine, bien loin de son image de pseudo punkette à la Gwen Stefani des premiers temps.

La rumeur du net ne cesse d’enfler depuis la sortie de son premier single « L.E.S Artistes », et Santi White (de son vrai nom), est devenue incontournable depuis que Converse lui a fait confiance pour « My Drive Thru » en compagnie de Pharell et Casablancas (voir post du 08/08/08). Une chose est donc sûre, pour bien finir l’année il faudra connaître la grande Santo, et se délecter de son Electro/Rock saupoudré de synthé Bontempi et de gimmick Hip-Hop et Soft Rock.

Probablement le point culminant du premier album éponyme de Santogold, « Lights Out » saura convaincre les plus incrédules d’entre vous que oui, on peut faire du Punk dans sa jeunesse et finalement bien tourner :

1 commentaire:

Jérem' a dit…

Un des albums les plus classe de la décénie! A part les Foals et MGMT, c'est ce que j'ai écouté de mieux en l'année passée!