mardi 6 mai 2008

Quand pochette rime avec toilettes

Une pochette d’album c’est tout à la fois: la synthèse d’un univers, l’essence d’un instant hors du temps, et le divin réceptacle d'infos aussi précieuses qu'inutiles (code barre, track-listing et remerciements à papa, maman et au manager).

A travers les ages, certains chefs d’œuvre ont su épisodiquement rompre la routine (Sgt Pepper, Sticky Fingers pour ne citer qu’elles), et même si les belles pochettes se font de nos jours de plus en plus rares, nous pouvons compter sur les 70’s et 80’s pour nous fournir une source inépuisable de raretés mêlant le graveleux au grotesque.

Sans que ce soit une première, NME (fier magazine britannique) lance une vaste consultation autour des pires pochettes de l’histoire, à laquelle je vous invite à participer, et qui, j’en suis sûr, saura vous faire bénir le XXIème siècle à bien des égards.
Et pour les assoiffés de couleurs criardes et de filles dénudées, allez donc faire un petit tour du côté du classement de Djalanda lui aussi très intéressant.

Et comme le service comptable n'est pas en reste, voici un petit florilège de nos plus belles prises:


1 commentaire:

Anonyme a dit…

Que du bon goût sur ce blog...